Depuis 1831, la maison Deyrolle propose aux passionnés des collections d’insectes et de coquillages, des animaux naturalisés, des curiosités naturelles et du matériel pédagogique pour l’enseignement des sciences naturelles, dont les célèbres “planches Deyrolle”, qui étaient accrochées aux murs de l’école. Certains sont devenus des objets de décoration très prisés par les amateurs, passant, au fil des années, de la collection au décor.
Une institution pour les touristes comme pour les parisiens. Point de promenade aux Tuileries qui ne se termine chez Angelina avec un chocolat chaud et le fameux Mont-Blanc, et à toute heure on adore y bruncher.
Mais Angelina est aussi présente rive gauche. Le Chef pâtissier Christophe Appert a créé pour elle un nouveau délice, le Babylone. un biscuit dacquoise aux amandes, une mousse à la vanille et un confit de framboise, une pâtisserie fraîche et légère, telle une vraie Germanopratine ! Et comme sur la rive droite, la boutique est ouverte tous les jours de la semaine.
Claire Damon a compris, aux côtés de Pierre Hermé, que sa sensibilité pouvait devenir le fil conducteur de la construction d’un gâteau, d’une émotion. Après trois années passées à ses côtés, puis deux chez Ladurée avant d’aller rejoindre les brigades du Bristol puis celles du Plaza Athénée, elle croise la route de David Granger, qui lui n’a jamais cessé de faire des recherches autour du pain pour réaliser celui qu’il jugerait idéal. Ensemble, ils se lancent dans l’aventure d’une boutique qui mêle l’excellence de leurs deux disciplines.
Des gâteaux qui racontent des histoires, des histoires d’amour, des promenades dans la nature, des coups de coeur pour un parfum, un arbre, un voluptueux cachemire. Un gâteau sans cesse retravaillé, réfléchi pour aller vers toujours plus de spontanéité « car la nature est parfaite dit Claire, tout ce qu’on ajoute est en trop ». Peu de sucre, peu de farine, peu ou pas d’oeuf, les gâteaux de Claire s’appuient sur des accords personnels et une maîtrise technique, et s’inscrivent dans sa quête de l’essentiel.
Dans leur écrin noir, des pains aux parfums singuliers, des textures denses mais aérées, les pains de David ont une forte personnalité. Outre son goût propre, David fonde celui de ses pains sur des ingrédients toujours identiques et assure sa constance à la précision du travail et au levain qu’il réalise. Car c’est bien cela qui le passionne : jouer sur les fermentations d’un levain naturel.
https://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2015/08/Des-Gateaux-et-du-Pain-Paris-2.jpg8811023Hélènehttps://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2015-08-07 09:57:312023-06-20 15:43:03DES GATEAUX ET DU PAIN
Vous aimez la mousse au chocolat ? Vous serez alors ici aux paradis des gourmands et des gourmets ! Patrice Chapon a ouvert ce premier Bar à mousse au chocolat où l’on peut à la fois en choisir le goût et l’origine, Cuba, Venezuela, Equateur, et le contenant, un cornet de 90 grammes à déguster immédiatement ou des boites au poids à emporter chez soi.
https://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2013/11/CHAPON-Bar-à-mousses-au-chocolat.jpg10641504Hélènehttps://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2013-11-24 22:22:012022-03-09 12:15:30CHAPON et la Chocolaterie
Depuis près de cent ans, Plotrona Frau oeuvre avec les plus grands noms du design : Pierluigi Cerri, Achille Castiglioni, Michele de Lucchi, Jean-Marie Massaud, Andrée Putman ou Cini Boeri, pour ne citer qu’eux. Considéré comme l’ «Hermès du mobilier italien», la qualité de fabrication a toujours été une priorité pour l’entreprise, à l’instar de son cuir breveté, Pelle Frau, obtenu après vingt et une étapes de production différentes et décliné en plus de quatre vingt dix nuances de couleurs.
https://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2010/10/POLTRONA-FRAU.jpg472635Hélènehttps://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2013-10-31 09:55:002024-03-28 18:40:27POLTRONA FRAU
Aimé Maeght (1906-1981) était à la fois marchand d’art, éditeur, producteur de films et collectionneur d’art. Il exposa Braque, Matisse, Léger, Mirò, Tàpies, Chillida, Chagall, Kandinsky, Kelly, Calder, Giacometti, Bram van Velde, Alechinsky Rebeyrolle, Adami, Monory ou Ting. Avec 12 000 titres publiés, Maeght est aujourd’hui reconnu comme le plus important éditeur de lithographies et gravures au monde.
La galerie est aujourd’hui dirigée par Isabelle Maeght. Les expositions permettent aux visiteurs de voir les œuvres d’artistes historiques, mais aussi de découvrir des artistes plus contemporains : Gérard Gasiorowski, Marco Del Re, Selma Gurbuz, Aki Kuroda, Manolo Valdes ou Ernst Scheidegger. La galerie publie encore de nombreux livres, gravures et estampes.
En quarante ans, Christian Liaigre a beaucoup contribué à bouleverser les codes de la décoration contemporaine, en imposant l’épure et les essences exotiques, comme le wengé, sombre et africain, qu’il faisait cohabiter avec le bronze, le cuir ou les tapis de soie. En 2016, le créateur passe la main à son studio de création dirigé par Frauke Meyer, mais son style et ses codes, reconnus comme étant des références, sont restés les mêmes.
Ria est philippine et Yiouri chypriote, l’une a étudié le design et l’autre l’architecture. Ils se rencontrent à Londres dans les années 80 alors qu’ils travaillent tous les deux pour le designer John Stefanidis. Quelques années plus tard ils décident de réaliser leur rêve en créant leur première collection de meubles et en la montrant à Paris. Le succès est immédiat : le Crillon leur passe commande pour les suites du palace, Neiman Marcus et Barney’s les présentent à New York. Ils s’installent alors sur la rive gauche et ne cessent depuis de créer ce mobilier très inspiré de l’Art Déco pour lequel ils n’ont toujours aucune limites dans le choix des matières qu’ils utilisent : des bois rares, aux essences multiples, et des peauseries de crocodile, de python, de cobra et d’autruche.
Fondée en 1954 par Jean Fournier (1922-2006), qui fut le galeriste de Simon Hantaï dès 1956. mais aussi celle des peintres américains venus s’installer en France dans les années 1950 comme James Bishop, Sam Francis, Shirley Jaffe, Joan Mitchell, Jean Paul Riopelle et Kimber Smith. La galerie est aujourd’hui dirigée par Emilie Ovaere-Corthay et continue son activité grâce au soutien de Jean-Marie Bonnet. Tous deux continuent de défendre les choix de Jean Fournier autour de la peinture abstraite et des différents langages de l’abstraction, en associant des artistes plus jeunes à leur programmation : James Bishop, Pierre Buraglio, Didier Demozay, Sam Francis, Simon Hantaï, Pierre Mabille, Jean François Maurige, Michel Parmentier, Jean-Paul Riopelle, François Rouan, Peter Soriano, Claude Tétot ou Claude Viallat côtoient donc de plus jeunes artistes comme Frédérique Lucien, Nathalie Elemento, Stéphane Bordarier, Elizabeth Cooper, Nicolas Guiet et Emmanuel Van der Meulen.
https://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2010/05/GALERIE-JEAN-FOURNIER-Paris-3.jpg800653Hélènehttps://www.germanopratines.fr/wp-content/uploads/2019/12/logo-germanopratines-3-1030x221.pngHélène2010-05-27 13:01:332023-04-29 13:49:47Galerie JEAN FOURNIER